Coucou Pauline !
Voila, j’avais envie de mettre le premier chapitre d’une histoire que j’ecris, mais j’ai… j’ai eu peur de ne pas etre a la hauteur, mais face a la curiosité de quelqu’un, j’ai decider de mettre
le premier chapitre (si vous avez aimez et que vous voulez la suite, fait-le moi savoir :

Je me levais, et m’ebourrais comme chaque matin.
La paille sur laquelle je dormait depuis ma naissance, ici meme, était devenue sale a cause de mon crottin.
Je passais la tete par l’ouverture du box, attendant que ma maitresse arrive.
Je saluais Ouragan, mon voisin de box.
– Comment vas-tu Our’ ?
– Bien et toi ?
– Super, aujourd’hui j’ai un concours de saut.
– Cool.
Ouragan était un cheval de saut a la retraite, il avait passé sa vie a concourir, et me voir moi, a present, sa fille,
travailler avec autant de passion lui arrachait parfois des larmes.
Ma mere était morte il y a deux ans, des hommes étaient entrés dans l’ecurie et lui avait mis du poison dans son abrevoir. Il avait vidé des sortes de bouteilles qu’ils buvaient, mais qui ne les
empoissonnais pas mais les rendaient bete. Elle a but, elle a henit fort en hurlant que ça brulait, elle est tomber par terre et ne sait jamais relever. Elle était vieille et c’est pour ça qu’elle
n’a pas survercu je pense.
J’entendis le cadenas de l’écurie cliqueté, puis la porte s’ouvrit.
J’henis pour dire bonjour a Elise, ma propriétaire, qui me sourit.Ouragan aussi henit.
Elle m’emmena a boir et a manger, aisni qu’a Ouragan aussi.
Quand j’eu fini de manger et de boir, elle me passa le licol et m’attacha.
J’eu une sensation agréable sur ma robe, une brosse. Elle ma l’a passa partout, des sabots jusqu’au toupet.
Elle peigna mes crins en me parlant :
– Voila, tu vas etre toute belle pour le concours de cet apres-midi. Et puis, tu seras la meilleure ! cette fois, j’en suis sur, tu vas arriver assé vite !
Les humains pretendaient que nous ne comprenions pas un mot de ce qu’ils racontaient. Pourtant, nous savons exactement ce qu’il dise !
Elise me racontait tout. Elle savait que je la comprenait parfaitement et que j’étais là pour la consoler. Elle m’avait raconter toute ses rupturs.
lorsque ma mere m’avait mise au monde, ma maitresse n’avait que 15 ans. maintenant, elle en avait 20, et elle voulait a tout prix devenir une grande championne.
Ah ! Vous vous demandez peut-etre qui a alors monté Ouragan ? La mere d’Elise, bien sur !
Quand ma proprio eu fini de me brosser, elle me mis toute sorte d’objet sur moi auquels j’était habituer.
A chaque concours, elle me brossait me mettait une chemise, un protège-nuque, un fourreau a queue, des bandes de transport et encore bien d’autres choses ! Puis, ensuite, comme elle le fit
egalement ce matin, elle me montait dans ce que Ouragan et moi appelions « la boite noir » mais que les humains appel van.
Elle m’attacha au fond du « van », ferma la porte et demarra.
A chaque fois, j’ai l’impression de m’endormir, alors que ce n’était pas le cas.
Elle rouvrit la porte, et moi je me « reveillais ».
Elle me descendit doucement.
Puis enfin, elle m’attacha a coté d’autres chevaux que je ne connaissais pas.
A nouveau, elle me brossais, me curais, me peignais et me tressais les crins.
Puis elle me sella et me brida.
Ma maitresse m’emmena dans un manège, elle monta sur mon dos et me tallonna pour me dire d’avancer.
D’abors au pas, puis au trot, pour m’échauffer, puis au galop. Elle m’emmena devant un barre que je sautais avec aisance puis vers une autre, plus haute.
Une fois terminer mon echauffement, elle m’emmena dans un plus petit manège ou elle me fit marcher pour que je ne me refoidisse pas.
Puis les hauts-parleurs annoncèrent le debut de notre parcours :
-Elise et sa jument Ibis sont invités a se presenter devant les juges.
ma maitresse me fit sortir du manege et m’emmena jusqu’à la carrière.
Je m’avançais jusqu’aux juges et m’arretais, et restais imobile(ce qui était demander lorsque le cavalier devait saluer.
Elise donna un coup de talon et je compris que le parcours commençait.
Pour commencer, je galopais a vive allure vers un vertical de 80 cm. je fis un leger tournant vers la gauche et sautais un oxer de 80 cm egalement. Un leger coup de talon de ma cavalière m’indiqua
que je n’allais pas asser vite, j’accelèrais. un tournant cours vers la droite, un changement de pied, me voila en face d’un mur de pas moins de 95 cm. Regroupant mon énergie, je poussais sur mes
posterieurs et survolais l’obstacle.
Juste après, une petite haie de 70 cm que je sautais avec tant de faciliter que je ralentis un peut. J’entendis alors ma cavalière me rappeller a l’ordre :
– Aller Ibis ! Plus vite !
J’accelerais de plus belle, un oxer de 1m10 en face de moi. un fois de plus, je regroupais ma force et l’envoyais dans la souplesse de mes jarets. Galopant a bride abatue, je fis un virage serrés
vers la droite puis un autre a gauche plus souple et je sautais la spa d’un mètre avec une facilité deconcertante.
Ce saut marqua la fin de mon parcours.
Elise me fit marcher longtemp avant de me rattacher a la barrière avec les autres chevaux.
elle me desella, me debrida, me remit mon licol et partie a la remise des prix.
Le cheval a coté de moi se mit a me parler :
– Salut, je suis Vichibos, un selle français. J’ai disputer moi aussi le concours. J’ai vu comment tu as sauté.
Cette force dans tes posterieurs, ouah !
– Merci, je suis moi aussi une selle française, je m’appelle Ibis.
– Ravie.
Ma maitresse revint, portant une grosse coupe dorée, un flot et une plaque dans les mains.elle posa le tout devant moi. et se releva et me dit :
– C’est génial ! on est premier ! on a gagné !
Elle me fit un gros calin et me felicita.
Puis elle commença a ranger mes affaires.
Moi, je contemplais ce surperbe cheval a coté de moi. Il était si fort, si habil. Sa proprio arriva, avec une coup semblable à celle de la mienne mais en argent. Elle dit a son cheval :
– Tu es genial ! mais cette fois, cette jument a été meilleure que nous, il faut travaillé plus et on y arrivera ! mais, 2° c’est deja genial !
Elle lui donna une pomme puis elle vint me carresser. Elle me donna une carotte.
– Bonjour, tu dois etre la propriétaire de ce cheval. fit elle à Elise.
– Oui, qui est-tu ?
– Je m’appelle Julie, et toi ?
Elise se presenta et elle me présenta egalement.
– On se revoit aux prochain concours ?
– Oui bien sur !

Pendant deux mois, tous les dimanches, je retrouvais Vichibos aux concours, à chaque fois je gagnais,
et Vichibos travaillait sans pouvoir me battre.
Mais un jour, il arriva une chose qui allait changer ma vie…

desoler si c’est un peut long …

Je repasse enfin, après avoir fait un rapide passage sur Lecture Academy. Si je fait impasse sur les faits divers de Twilight et la soudaine fierté du nouveau forum, je n’oublie pas de vérifier si
« Les Eveilleurs » avance 😉 !
J’étais vraiment contente de savoir que le tome 2 sortirais bientôt et incroyablement jalouse de la nouvelle couverture. Mais c’est normal, c’est une réaction humaine, vouloir ce que nous n’avons
pas. Non, sérieusement, je la trouve magnifique.  » C’est ça d’être impatiente et d’acheter un livre immédiatement, tu aurais attendu, tu aurais eu la belle version ! » fut la réaction ironique de ma
mère. Bon, j’arrête de parler de la couverture, la première me convient parfaitement, c’est une des raisons pour laquelle j’ai acheté le livre. J’ai lu le début du tome 2. C’est cruel, sadique ou
horrible (j’hésite encore entre les trois) de publier un si petit passage. Je sais qu’il est tard, ce n’est pas vraiment l’heure de me plaindre, mais mes insomnies sont désormais régulières, je
passe donc en moyenne une heure à me poser plein de questions (quelle angoissée je fais). Puis une autre à songer à des faits divers, la reprise des séries en septembre, mon anniversaire, la
rentrée, puis re- mon anniversaire (égoïste va !). Donc bref, je me suis dit qu’il fallait vraiment que je vous dise que j’étais contente de la future sortie du prochain tome. Genre trop top quoi !
x) J’ai hâte. Désolé du déballage de vie, c’est sortit (Hum… Il est 3h, je laisse mes conjugaisons de côté.) tout seul et ça fait un bien fou ! Désolé de votre virus, je suppose qu’il ne se
soucie pas des pauvres lecteurs qui attendent avec une patience limite la suite de votre livre (Bah oui, ce n’est qu’un virus, il s’en fout carrément lui.). Bref, ça craint !

Bisous, j’attends toujours votre livre avec impatience.

PS: Je lis Into The Wild et c’est vrai que c’est bien. Quelle histoire incroyable !
PPS: Je n’ai rien à redire, mais j’aime beaucoup écrire « PPS ». >

bonjour Pauline, j’ai vu la nouvelle couverture des éveilleurs et je la trouve trés bien.
J’ai hates de lire l’extrait du tome 2.
Encore merci de nous faire rêver.