« Il y avait un rythme à suivre, un rythme présent en toute chose. Dans les plantes, les hommes, la rivière, les étoiles. Dans tout ce qui vivait, il y avait un rythme. Si on faisait très attention, on pouvait le sentir pulser. Merlin fermait les yeux et le sentait dans son corps, alors il touchait la personne ou l’animal dont le rythme était altéré et il rétablissait la cadence, l’harmonisait. C’était simple, il suffisait d’écouter en soi la vie vibrer. »