Aïe, je ne réponds donc pas aux commentaires depuis… trop longtemps.
Ça m’embête car je n’aime pas vous laisser sans réponse.
Je me demande donc: pourquoi ?
La réponse m’embête aussi.
Parce que cette année passée a été tenue par le travail.
Un travail nécessaire. Régulier. Bienvenu.
Qui me laisse moins de temps pour écrire.
Je distingue « travail » et « écriture » ici mais ils ne sont évidemment pas indissociables ni indissociés.
J’ai consacré les sept dernières années quasi exclusivement à l’écriture de romans. Le temps s’y engouffre, s’étale, en occupe tous les plis. Et cela me va bien. Plus que bien. En particulier, je n’aurais pas pu écrire « Les Eveilleurs » si je n’avais pas pris et eu ce temps absolu.
Cependant, les lois de l’économie du livre étant ce qu’elles sont, on peut « vendre des livres » sans gagner sa vie correctement pour autant.
D’où, la nécessité d’un travail complémentaire.
Et, en conséquence, moins d’amplitude pour l’écriture.
Le blog a un peu disparu dans cette équation.
Maintenant, parlons d’autre chose.
J’écris toujours !
Dans un autre rythme