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Premier récit d’un lecteur dans l’univers des Eveilleurs

Bonjour à toutes et tous !
Je suis rentrée hier, après 12 jours de salons et de rencontres vraiment géniaux.
Je vais vous raconter, juré craché !

Laissez-moi seulement le temps d’arriver…
Dans quelques jours, je vous écris un article digne de ce nom.
 
En attendant, je ne pouvais pas faire patienter Estevan qui m’a envoyé le PREMIER RECIT d’un lecteur dans l’univers des Eveilleurs!
 
Bravo Estevan et merci d’avoir eu le courage de te jeter à l’eau!
 
Lisez-le dans la rubrique « pages » sous le titre formidable de « Les humains préfèrent la Terre ».

N’hésitez pas à réagir à son récit.
J’écrirai moi-même à ce sujet au plus vite.
Je répondrai également à tous vos commentaires, bien sûr.
Donnez-moi seulement quelques jours…

 
A tout bientôt !
Pauline Alphen

 
 
 
🪶Abonnez-vous à ma newsletter mensuelle Écrire comme on respire. On y parle des Éveilleurs, du processus d’écriture, des lecteurs…
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25 commentaires

Lena 31 mai, 2010 - 8:53 pm

Bonjour Pauline,
Bravo à Estevan !!!
Vous nous manquiez, c’est long des salons ^^
Bon je vous laisse vous reposer,
et j’espère bientôt pouvoir vous lire !!

Lena

Pauline Alphen 2 juin, 2010 - 6:29 pm

Bonjour Lena,

C’est gentil à toi d’encourager Estevan le courageux !

Et merci pour ta patience en attendant de me lire :-))

biz

P.A.

 

Lena 2 juin, 2010 - 7:36 pm

Bonjour Pauline =D, (me revoici^^)
Je suis inscrite sur un forum de lecture et nous faisons un journal, je suis celle qui s’occupe des interviews et j’aimerais beaucoup vous proposer d’être l’auteur interviewé !
Serriez-vous d’accord ??

Si vous voulez jeter un coup d’oeil au forum, voici le lien –> http://monde-imaginaire.forums-actifs.com/forum.htm

Merci beaucoup !
Lena

Pauline Alphen 5 juin, 2010 - 11:35 pm

Bonjour Lena,

Toujours contente de te lire.

Oui, bien sûr, tu peux m’interviewer !

Néanmoins, comme je le disais à Coline, un souci de santé me tient loin des écrans et je dois lire et écrire le moins possible pour l’instant. Je te demanderai de me poser des questions
auxquelles je n’ai pas déjà répondu sur le blog et de me pardonner si les réponses sont plus courtes que d’habitude. D’accord?

biz

P.

Cyril 4 juin, 2010 - 6:33 pm

Bravo à toi Estevan!Continue comme çà ton texte était très bon.
Et bravo à vous aussi Pauline j’ai en effet appris sur le site elbakin.net qu’ils vous avez sélectionné dans l’une des catégories de leur premier prix et en plus au côté du génialissime et regretté
Pierre Bottero.
Voilà je passais pour vous féliciter de cette nouvelle nomination à un prix et vous promet de revenir bientôt.(En attendant je vais potasser le week-end sur mes cours de latin pour mon oral)Au
revoir

Pauline Alphen 5 juin, 2010 - 11:39 pm

Bonjour Cyril !

Contente de te lire !

C’est toi qui m’apprend que Les Eveilleurs ont été sélectionné pour le Prix Elbakin, je ne le savais pas !

En effet, la concurrence est ardue ! Et Pierre… Eh bien, je suis heureuse d’être à ses côtés.

Le latin, c’est pour le bac?  Le latin c’est génial ! Bosse bien! Je t’envoie d’ici plein de pensées positives pour que tu déchires à l’oral ! Donne-moi des nouvelles de tes examens quand tu
as un moment.

à bientôt

P.A.

Matthieu 4 juin, 2010 - 7:13 pm

Bravo à Estevan!
J’ai beaucoup aimé son texte.
Bonjour Pauline , j’espère que vous allez bien.
J’ai hâte que le deuxième tome sorte.
Pour moi, c’est bientôt les vacances, pensez à en prendre!!!!!!

Salut…

Pauline Alphen 5 juin, 2010 - 11:43 pm

Bonjour Matthieu,

Hum… tes mots tombent à pic : des vacances, je vaais être obligée d’en prendre. Un souci de santé m’oblige à lire et écrire le moins possible ! Du coup, je prends moins de douches aussi pour ne
pas avoir trop d’idées !

Bonnes vacanes à toi et repasse me voir de temps en temps !

P.A.

Estévan 5 juin, 2010 - 1:42 pm

Moi aussi j’ai hâte qu’il sorte. En tous cas, normalement, il ne va pa tarder, d’après ce qui est dit à la fin du premier. Merci pour vos avis sur mon texte. Bonne continuation à vous, Pauline.

Pauline Alphen 5 juin, 2010 - 11:46 pm

Bonjour Estevan,

Désolée pour les commentaires que je t’ai promis, sur ton texte, er que je n’ai pas faits.

Jette un œil sur les réponses aux messages précédents: je dois me tenir tranquille et loin des écrans pour un certain temps. Et lire et écrire le moins possible ! Argh…

Mais je regarde toujours le blog et vos messages et y répondrai plus succinctement que d’habitude mais répondrai quand même.

Et tu as vu? Tu as des lecteurs !

A bientôt

P.A.

Estévan 6 juin, 2010 - 12:24 pm

Voici une autre de mes nouvelles. Cette fois-ci sans rapport avec les Eveilleurs.

Le farfadet Enée face au loup-garou Romulus

De son sixième étage, accoudé au balcon, il contemplait la foule qui déambulait dans la rue : il souriait en pensant à sa journée hors du commun, extraordinaire, fantastique dans tous les sens du
terme. Il ne revenait toujours pas de sa surprenante aventure avec des créatures fantastiques et historiques.
Tout d’abord, puisqu’on était dimanche, jour de repos bienvenu, il s’était levé tard, vers neuf heure (du matin heureusement !). Il avait démarré la journée par un délicieux déjeuner bien copieux :
de bons croissants tout chauds à profusion, en provenance de la boulangerie du coin. Après s’être restauré à satiété, il s’était affalé dans l’unique fauteuil du salon (en fredonnant l’un de ses
morceaux préférés, défraîchi à notre époque). Alors qu’il s’était mis à regarder la télé (un documentaire fort intéressant sur les monstres légendaires qui fascinent de nombreux individus) on avait
frappé trois petits coups rythmés contre le bois de la porte d’entrée.
Il s’était arraché de l’écran avec des grommellements de mécontentement et s’était dirigé vers l’entrée en traînant les pieds avec exagération. Il avait déverrouillé puis ouvert violemment la
porte. Il s’était attendu à voir encore un de ces gamins qui vendent perpétuellement leurs maudites cases ou un arnaqueur de ce genre et avait affiché son air le plus mauvais, le plus hargneux, le
plus commun. Lorsqu’il avait détaillé son interlocuteur, il avait dû reconnaître qu’il était bien trop minuscule, menu pour être un de ces écoliers. Il lui arrivait à peine à la taille alors que
lui n’était déjà pas grand. Il devait probablement mesurer environ quatre-vingt centimètres. Le nain portait une armure troyenne et même avec son chapeau de marginal, on apercevait ses petites
oreilles pointues qui s’agitaient nerveusement. Un elfe ? Un lutin ? Un déguisement ? La réalité ? L’homme décida que ce ne pouvait être qu’un artifice. Les créatures fantastiques ça n’existe pas !
C’est comme le Père Noël et la petite souris. Comme les cloches de Pâques et dragons cracheurs de feu. C’est une invention.
Il marmonna, peu amène :
– C’est pour quoi ?
– Ja, gut !, s’exclama le petit bonhomme d’une voix fluette. Pourriez-vous me laisser entrer. Je dois me cacher. Romulus, le vieux loup-garou, me poursouit par que je me suis échappé dou cachot
dans lequel il me laissait croupir. Tout cela pour mon vol d’orange dou marchand que j’ai commis dans ma jeunesse. Alors, je peux entrer ?
Il se fraya un chemin entre l’encadrement de la porte et l’homme avant même que celui-ci puisse répondre. Le maître de maison l’attrapa par le bras et le remit dehors avec brutalité. Le petit être
tomba sur les fesses. C’est à ce moment précis qu’un mugissement guttural retentit dans la cage d’escalier. Peu après, des bruits de pas lourds brisèrent le silence qui venait de s’établir.
L’homme écarquilla la bouche et béa de stupéfaction. C’était impossible ! Impossible. Il devait avoir une vision onirique. Pour vérifier, il se pinça la joue à s’en faire mal. Il venait de
ressentir la douleur, tout ceci était bien réel, vrai. Il saisit prestement le lutin – il y croyait maintenant – par ses vêtements et s’enferma promptement dans son appartement.
Il déposa sans façon le korrigan dans le fauteuil et l’interrogea précipitamment, faisant des allers-retours dans la pièce, mains dans le dos :
– Comment peut-on se débarrasser de ce monstre mythique ?
– Je ne sais pas, se désola pitoyablement le petit elfe. Comme je l’ai déjà dit, j’était enfermé dans une geôle. Je n’ai jamais appris qu’elle était sa faiblesse.
– Pas bon. Vraiment pas bon, marmonna l’homme dans sa barbe (alors qu’il n’en avait pas).
A son ton, on aurait pu croire qu’il venait de goûter un plat particulièrement mauvais. Un silence insidieux s’installa dans la pièce où l’atmosphère était palpable. Seule la télévision, restée
allumée, vomissait son émission avec fluidité :
– En effet, le loup-garou ou Lycanthrope peut facilement être vaincu. Son talon d’Achille est son point faible… …. …
On frappa puissamment à la porte. L’homme le remarqua à peine : il avait eu la solution grâce à sa vieille télé ! Il ne restait plus qu’à espérer que ce soit la bonne. Sinon… glurp… il refusait
d’y penser. Alors qu’il s’armait d’un couteau à viande et que le pauvre lutin tremblait de tous ses membres, le loup-garou tonna d’une voix caverneuse :
– Ouvrez tout de suite la porte à Romulus, frère de Rémus et fondateur de la grande et resplendissante Rome. Livrez-moi le farfadet et troyen Enée et vous serez récompensé. Si vous ne m’obéissez
pas, je vais souffler, souffler et la porte tombera. Je me taillerai une ceinture dans vos boyaux et tuerai le fuyard.
L’homme n’en revenait pas. Ce loup-garou, frère de Rémus et fondateur de la capitale de l’Italie jouait au vilain méchant loup comme dans l’histoire du chaperon rouge ! Risible. Si le moment
n’était pas aussi morbide, l’homme aurait ri de bon coeur à cette plaisanterie qui n’en était pas une. Au lieu de ça, il raffermit sa prise sur son arme de boucher. Enée, blême de frayeur, était
secoué de tremblements violents.
Fffff. Fffffffffffff. Le loup-garou souffla et comme il l’avait dit, la porte s’écroula et le dévoila. Quelle horreur ! Il était affublé d’un équipement militaire de romain. Ses yeux sauvages et
jaune urine étudiaient le décor. Sa bouche était ouverte alors qu’il haletait tel un taureau. Ses crocs usés profilaient derrière ses babines dégoulinantes de bave. On eut juré qu’il était enragé.
Sa fourrure grise s’entremêlait avec sa peau humaine.
Dès qu’il vit sa proie, il se rua dessus en tirant un glaive émoussé et peu menaçant. Il tournait le dos à l’homme. Celui-ci se rapprocha de la créature mythique et en un mouvement assuré planta
sou couteau à viande dans le talon d’Achille de la bête. Celle-ci hurla avant de mourir qu’elle les maudissait pour l’éternité.
Enée, se releva du fauteuil et remercia l’homme avec gaieté et chaleur :
– Danke, Danke. Si vous avez un problème, appeler-moi sur mon portable. Je volerai à votre secours.
Il chercha et crayon et une feuille et nota un numéro. Son numéro de portable. Un portable. Enée. L’homme ne put s’empêcher un bref ricanement. Alors que le troyen allait franchir le seuil de la
porte, il l’interpella :
– Hé, Enée ! Comment ce fait-il que tu parles allemand ?
L’autre se retourna, surpris :
– J’ai dû m’exiler, tout le monde sait ça, pauvre idiot. Je suis célèbre moi, dit-il en prenant un air supérieur.
L’homme éclata d’un fou rire incontrôlable alors que le troyen-farfadet disparaissait dans l’escalier. Peu à peu, il se calma et examina la dépouille du loup-garou-romain. Quelle puanteur ! Il se
dirigea vers la fenêtre du balcon et l’ouvrit. Il inspira l’air pollué à grandes goulées. Quelle journée folle ! Lui qui s’était dit que le monde était étrange, imprévisible. A présent, il était
convaincu d’avoir eu raison.

Je vous annonce aussi que j’ai fait mon propre blog : thybeo.over-blog.fr. Je vous invite à le découvrir.

ns aucun rapport avec les Eveilleurs

anthony 7 juin, 2010 - 3:38 pm

Pauline,
je suis en se moment en train d’écrire une histoire que j’avais déjà commencer lorsque j’étais plus jeune. c’est en lisant ton blog et tes ouvrages qui mon donner envie de la reprendre et de
l’amélioré, j’écris simplement cette histoire pour le plaisir et par passion pour moi même et peut être mes futur enfants. dans cette histoire j’ai juste un seul petit problème… je n’arrive pas a
trouver un nom a un des personnage le plus important de l’histoire, une licorne donc ca serait pour savoir si tu n’aurait pas une petite idée a me faire passer car je ne veut pas que ce personnage
est un nom que l’on trouve dans d’autre livre, je veut que a devienne un personnage unique et sa me ferait plaisir si tu pouvait me trouver un nom pour cette petite licorne, comme ca une partie de
toi sera dans mon histoire se qui me toucherait grandement…
merci a toi d’avance, repose toi bien et bon courage pour la suite.
A.C

Pauline Alphen 23 juillet, 2010 - 11:45 pm

Bonjour Anthony,

Désolée d’avoir tardé à te répondre. Tu as peut-être lu le blog et tu auras vu que j’ai été malade un certain temps et devais me tenir loin des écrans.

Je suis vraiment contente d’apprendre que tu écris ! Et très honoré que mon blog t’en ait donné envie. C’est formidable parce que c’est précisément une de ses raisons d’être !

Bon, c’est une très belle misssion que tu me confies, trouver un nom pour une licorne. J’aime énormément les licornes, je les collectionne même. Enfin, je n’en ai qu’une mais je les collectionne

Faut que je réfléchisse un peu, mais comme ça, rapidement, quelles sont les caractéristiques classiques de la licorne? Elles sont blanches, symbole de la pureté, elles sont farouches, elles ont
une jolie corne torsadée, elles ne peuvent être attrapées que par des jeunes filles.

Elle pourrait s’appeler Blanche… Ou Blanca ou Alva (blanche en espagnol et en portugais). Ou Farouch (je l’écrirais sans le « e ») Mais peut-être est-ce trop évident? Il faudrait que j’en sache un
peu plus sur le caractère de la demoiselle…

Il y a un très beau livre de Barjavel qui s’appele « Les dames à la licorne ». Barjavel est un écrivain extraordinaire au sens propre du mot. Dans ce livre, il y a des personnages fabuleux: cinq
jeunes filles, une licorne et une renarde. L’une des jeunes filles —ma préférée— s’appelle Griselda. Un nom étonnant pour une jeune fille. Mais peut-être pour une licorne ?

Si rien de tout ça ne te convient, dis-le moi, je chercherai encore…

Merci vraiment de ce beau cadeau, Anthony, vraiment, être la marraine d’une licorne !

P.A.

anthony 7 juin, 2010 - 3:42 pm

voila je te donne le début de mon histoire pour que tu me dise ce que tu en pense, je ne suis pas un professionnel donc si tu pouvait me donner quelque conseil… 🙂
Chapitre 1. Le commencement
Il était une fois dans un magnifique château située dans une jolie vallée verdoyante, une petite fille de 10ans a peine qui se prénommai Julie qui se sentait seule car elle n’avait n’y frère n’y
sœur, mais en plus elle n’avait pas le droit de sortir du château pour aller au petit village qui se trouvait en bas de la colline, car c’est parent le roi et la reine ne voulaient pas quelle
quitte l’enceinte du château… sans jamais lui avoir donner de raison valable « tu est trop jeune pour sortir, on verra quand tu sera un peu plus grande… c’est trop dangereux pour toi… » Julie en
avait vraiment mare de rester enfermer prisonnière de se château…
Un beau jour d’été très ensoleillé le personnel du château battait de tout son plein, c’était un grand jour, et oui c’était enfin le onzième anniversaire de notre petite Julie, tout le monde
travaillait avec une excellente humeur pour les préparatifs du bal qui aura lieu le soir pour le couronnement de la petite princesse. Toute les fenêtres du château étaient grandes ouvertes et
laissai ainsi entré des flots de lumière sur la vaisselle d’’or de la table de la grande sale des fêtes ce qui avait pour effet de renvoyer sur tout les murs des reflets étincelant de lumière doré
aiguayant encore plus le personne au travail. Le roi et la reine était aussi très occupé dans la préparation de la fête, le roi s’occupait de tout le repas et contrôlait que tout étais parfais, et
la reine elle, supervisait toute la décoration du château en prenant compte de chaque détaille de chaque fleure un peut faner, de chaque grain de poussière dans chaque petit recoin. Enfin bref la
seule personne a l’écart de tout ces préparatif était la petite Julie qui a ce moment la était accoudé au balcon de sa chambre et rêvait de liberté et de s’évader , celle si voyant que personne ne
faisait attention a elle malgré que se soit son anniversaire décida de faire comme a son habitude, de partir en exploration dans les cachots du château. L’entré des cachot a été camoufler il y a
des année car il n’y avait pu personne a mettre dedans car les gens de cette région son tous des personnes qui ne crée jamais de problème si bien que pu personne ne sais qu’il se trouve des cachot
en dessous du château, ce qui permet a Julie de pouvoir s’évader quelque heure par jour loin de sa prison dans laquelle ses parent la retienne… ce que Julie ne comprend pas c’est que c’est que les
personnes qui ont condamner l’entré des cachot on pris la peine de seller et de camoufler les entrée de telle sorte que personne qui a par en cherchant bien ne puisse trouver ses entrée. Julie
trouva l’une d’elle totalement par hasard, un jour de pluie il y a de cela trois mois, elle vagabondait comme a son habitude dans les immenses couloirs du château assombris par le mauvais temps
lorsqu’elle trébucha sur une dalle qui ressortait du sol et se rattrapa a un grand rideau en velours rouge quelle arracha de sa tringle d’un seul coup. Et la derrière se rideau elle vit une
magnifique sculpture gravé dans la pierre, celle si représentai un immense palais au milieu d’un lac et sur le bord de la rive se tenait un cheval majestueux avec une longue corne au milieu du
front. Julie toucha la bête gravé de ses fin doigt et quand ceux si firent en contact avec la corne du cheval la sculpture se renfonça dans le mur laissant place a une grande galerie profonde et
obscure. Ce fut a ce moment qu’elle comprit que son rêve de liberté allait devenir enfin réalité. Depuis presque tous les jours elle partait explorer ces longs couloirs sombres dans lequel se
trouvait de petite cellule la ou devait être enfermé les prisonnier jadis. Aujourd’hui elle décida d’aller encore plus loin dans son exploration car elle savait que personne ne se soucierai de son
absence jusqu’au soir, elle passa par le passage de la stèle ou était gravé la tète de licorne puis repris le chemin qu’elle avait déjà fais de nombreuse fois depuis la découverte de l’entré. Elle
passa devant les cellules puis devant une immense salle de torture qui lui faisait toujours froid dans le dos, sans s’attardée elle bifurqua dans un plus petit couloir et sortie sa torche quelle
avait soigneusement emprunté au château puis l’alluma. Elle continua son habituelle route dans ce gigantesque labyrinthe en utilisant toujours la même route pour ne pas risquer de se perdre. Mais
cette fois si elle n’avait pas pris la même route que d’habitude, elle ne reconnaissait pas du tout ces couloir elle essaya de faire demi tour mais elle se retrouva dans un cul de sac, elle essaya
de prendre un autre couloir mais elle se retrouva encore dans un cul de sac… Julie complètement désespéré les yeux en larme complètement perdu dans cet endroit infernal s’assit et commença à
réfléchir en parlant a voie haute : « comment vais-je faire pour me sortir de la ?… personne ne sais que je suis la et personne ne le saura probablement jamais, ils vont surement croire que j’ai
fugué parce que je rêvais de liberté ou je ne sais pas trop quoi… je ne retrouverais jamais mon chemin ici et en plus je suis seule et puis… » A ce moment la Julie complètement abattue partie dans
un sanglot et s’abandonna a son triste sort. C’est la quelle aperçu une lueur blanche à peine visible au fond du couloir, et la Julie sentie monter la chaleur de l’espoir en elle, elle se leva puis
commença à avancer vers cette lumière. Soudain celle si ce mit à bouger, Julie sursauta et voulut s’enfuir mais l’envie de savoir l’origine de cette lumière l’incita à rester et a continuer à
avancer vers cette étrange lumière.
Complètement intriguer elle avança prudemment vers la lueur qui continuait d’avancer dans le sombre couloir humide, tout d’un coup celle-ci bifurqua dans un autre couloir sur la droite et laissa
Julie dans le noir complet. Lorsque Julie arriva elle-même au tournant et qu’elle s’engouffra dans un beaucoup plus petit couloir la lumière était toute proche d’elle, Julie habituer a l’obscurité
eu du mal à distinguer se que pouvait être cette lumière. Elle avait d’abord l’air d’une grande vache mais c’était beaucoup trop haut pour en être une, puis après les contours commencèrent a ce
dessiner, et Julie vit que en faite ce n’était point une vache mais un magnifique étalon avec des jambes fine et gracieuse, elle avait une robe blanche et scintillante coiffé d’une crinière de
couleur argenté qui elle aussi étincelait de mille feu, ses naseau était d’un blanc éclatant et la sur son front, élancé vers le ciel se tenait une corne d’une cinquantaine de centimètres, Julie
n’en croyait pas ses yeux, devant elle se trouvait un animal qu’elle n’avait vu que dans les livres de conte ou dans ces rêve les plus lointain … c’était une licorne.

Chapitre deux.la licorne
« Ouah ! » Julie n’en croyait pas ses yeux c’était inimaginable, quelqu’un avait du découvrir qu’elle avait réussi à s’introduire dans les cachots et avait voulu lui faire une mauvaise blague pour
son anniversaire. Julie fit le tour de l’animal et regarda dans les couloirs alentour pour voir si personne ne s’y cachait mais non, il n’y avait personne a par la licorne qui la fixait avec ses
yeux d’un bleu intense et profond. Julie approcha sa main de la licorne et caressa ses naseaux, l’animal ne bougea pas d’un pouce et ce laissa faire. Julie remonta doucement sa mais vers la corne
et la toucha de ses fin doigts.
« Ce n’est pas possible il doit y avoir un truc, je dois rêver si ce n’est pas une plaisanterie, les licornes ca n’existe pas !!! » pensa Julie a haute voie.
« Qui ta dit que les licornes n’existaient pas petite ? » dit soudain une voie mélodieuse et claire. Julie surprise trébucha et tomba lourdement sur son postérieur « aie ! » fit Julie encore sous
le choc
« Fait attention tu aurais pu te faire plus mal, tu n’a aucune raison d’être effrayer ! »
Julie qui n’avait pas encore remarqué que c’était la licorne qui lui avait parlé dit : « qui êtes vous et ou êtes vous montrer vous je… je… je suis la princesse de ce domaine je vous ordonne de
vous montrer ! » dit Julie avec une voie tremblotante.
« Mais je suis la à coté de toi, … » répondit la licorne
« Mais il n’y a personne a coté de moi autrement je vous aurais déjà remarqué je vous signale ! » la Julie tourna la tète vers la licorne et vit ses lèvre remuer et compris que la voie venait non
pas d’une personne humaine mais de la licorne.
« Tu me voie toujours pas ? Pourtant je suis bien visible… »
« Ahhhh ! Je dois rêver… les licornes ca n’existe pas et en plus ca ne parle pas !!! »
« Pourtant tu me voie parler en se moment… mais je comprend ton affolement car dans votre monde ca fait déjà des millénaire que les licorne ne viennent plus a cause de la cruauté des hommes nous
les licornes avons préférées partir vers un autre endroit ou la cruauté n’existe pas… du moins n’existait pas ».
« Mais… ca veut dire que tu n’es pas la seule ? »
« Non bien sur que non… nous somme très nombreuses la ou nous habitons »
« Euh… et comment te prénomme tu, tu dois avoir un nom ? »
« Oh, pardonne moi, qu’elle maladroite je ne me suis même pas présentée… moi c’est …

A.C

Pauline Alphen 23 juillet, 2010 - 11:56 pm

Anthony !

Je n’avais pas vu que tu m’avais mis le commencement de l’histoire !

Mais ça, ça ne se fait pas ! Tu ne peux pas me laisser maintenant sur ma faim sans savoir comment Julie va s’entendre avec cette licorne ! Et surtout que se passe t-il dans ce lieu où elle s’est
réfugiée et qui, si j’ai bien comrpis, est lui aussi victime de la violence ou de la cruauté.

Bon, moi j’aime bien Griselda mais je maintiens ma proposition de trouver un autre nom si celui-ci ne te convient pas. Et je te fais une autre proposition: quand ton histoire sera terminée, si tu
le désires, je peux oui, te dire ce que j’en pense. Des conseils, c’est beaucoup dire, mais des pistes de travail si tu veux. Et je peux aussi la publier sur mon blog quand elle sera prête.

Ah, j’ai une autre idée. Dans les tapisseries merveilleuses qui se trouvent au Musée Cluny à Paris, les dites tapisseries « De la Dame à la licorne », il y en a une mystérieuse. Chaque tapisserie
correspond à un sens (toucher, vue, ouïe, goût) mais la cinquième est un mystère. Il n’y a qu’un indication, une inscription qui dit « A mon seul désir ». Désir ou Désire peut aussi être une
possibilité…

Bravo pour ton récit et surtout termine-le !

P.A.

 

Estévan 7 juin, 2010 - 6:26 pm

Juste un truc. »Il était une fois… » c’est trop commun.

Marie 7 juin, 2010 - 6:30 pm

Bonjour Pauline ! 🙂

J’espère que tu vas bien !
& j’espère surtout que tous ces salons se sont bien passés =D !

Pour mon texte, je patines un peu :s. Je n’arrive pas encore à trouver une idée précise ..
Je vais lire celui d’Estevan, peut-être qu’il m’inspirera =).

Bisous à tous.
Marie 🙂

Estévan 9 juin, 2010 - 1:50 pm

Bizarre d’avoir quelques lecteurs. 🙂

Marie 9 juin, 2010 - 4:33 pm

Je voulais dire un GRAND bravo à Estévan !

Vraiment, son texte est génial =D.
Je ne sais pas d’où il sort toutes ces idées, mais j’adore :).

Encore Bravo !!!
Marie

Lena 12 juin, 2010 - 6:45 pm

Bonjour Pauline,
J’espère que vous allez mieux et que ce n’est que passagé !

Alors si vous avez le temps, pourriez-vous me répondre à quelques questions par rapport aux Éveilleurs ??

1. Vous avez travailler pendant 17 ans sur votre roman, pourquoi vous a-t-il prit autant de temps ?

2. Quel est votre personnage préféré dans votre roman et pourquoi ?

3. Où « pêchez-vous » toute votre imagination ? (pour les futur écrivain)

4.Lisez-vous beaucoup, et si oui, est-ce que les livres que vous lisez vous aide à écrire (en passant, quel est votre roman préféré??)

5. Les éveilleurs est roman mi-fantastique mi-futuriste; serriez-vous capable ou auriez-vous envie de changer de genre de roman ? Qu’il soit + adulte (dans un sens, car toute vos paroles à travers
les éveilleurs peuvent avoir un autre sens pour les plus grand) ?

6.(suite de la question 5.) Avez-vous des projets d’écritures en ce moment ?

7. Quel message voulez-vous passer par les éveilleurs ?

8. Comment avez-vous choisi les prénoms dans les éveilleurs

9. Votre vie a-t-elle changée depuis que vous avez publié votre roman ?

Voilà mes questions. Merci d’avoir prie le temps de lire mon message. Si vous n’avez pas envie de répondre à certaine question, ne vous sentez pas du tout obligée. Et répondez surtout à celles qui
vous tiennent à coeur !

Je vous remercie de tout mon coeur !!

Estévan 12 juin, 2010 - 7:21 pm

Je dis ça en passant, il y a des questions trop personnelles. Pour la source d’inspiration d’un écrivain, il ne la donnera pas (je peux me tromper). On pourrait y voler des idées 🙂

anthony 26 juillet, 2010 - 9:55 pm

merci beaucoup Pauline de m’avoir répondu, je savait que tu était mal en point c’est dernier temps alors j’attendait ta réponse avec patiente… a vrais dire quand j’ai su que tu ne pourrait pas
répondre j’ai commencer a chercher un nom et celui que j’ai trouver est le même que celui que tu ma proposer, Blanca, je le trouvait très représentatif de l’image que donne les licornes donc voila,
merci beaucoup pour c’est conseil et pour m’avoir répondu 🙂 je te souhaite un très bon rétablissement et je te donnerait mon histoire au complet quand elle sera fini, elle avance assez vite et je
suis en ce moment même la tête remplit d’idée pour un deuxième tome qui sera la suite du premier (logique) enfin bref bon rétablissement et bonne continuation pour la suite des éveilleurs que
j’attend avec impatiente.

Pauline Alphen 28 juillet, 2010 - 12:39 am

Bonjour Anthony;

Et bien voilà, c’est formidable, tu as ton nom !

Je suis heureuse de te sentir si plein d’enthousiasme pour ton travail, je connais cette sensation et c’est un merveilleux moteur.

De mon côté, j’avance, j’avance, mais comme tu le sais, écrire est un long voyage…

A bientôt j’espère

P.A.

lebonsai 21 mars, 2011 - 2:51 pm

Coucou Pauline,
C’est vraiment génial et généreux que tu encourages les jeunes fans de ta série ainsi ! Qui sait, peut-être que tu créeras un phénomène du même type que celui de M.Z. Bradley !
Encore mille fois merci pour tout ce que tu fais pour nous … Tes fans !
A tout bientôt,
Arnaud de Bruxelles (et tout les petits surnoms dont tu veux m’affubler 😉 ) !

Pauline Alphen 25 mars, 2011 - 10:33 pm

Ah ! Arnaud de Bruxelles, Grand Maître des bonsaïs ! !

Contente de te lire sur le blog!

Peut-être que pour créer un phénomène similaire à M.Z.B. je devrais laisser plus de « trous » dans l’intrigue des Eveilleurs?

Merci à toi qui m’a permis de passer un si beau séjour en Belgique.

Ça faisait un petit bout de temps que je ne riais pas autant !

Je regrette de ne pas avoir de photos de Aline et Yves chantant en pleine Fnac !

A bientôt n’est-ce pas?

P.A.

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